Lundi. Il pleuvait. Il pleuvait dru. Comme toujours dans cette belle région de Forks.
Mes cheveux dégoulinaient. Du temps où j'étais humaine, temps encore assez récent, j'aurais eu une tête atroce mais plus maintenant. L'immortalité me rendait belle. Cela dit, j'étais toujours et encore la paria de service.
Ainsi, je marchais seule dans les couloirs du lycée. Je me frayais assez facilement un passage entre les élèves. Ils n'étaient que des visages flous auxquels je ne prêtai pas la moindre attention. je rêvassai. Maintenant que j'étais vampire, mon esprit traitait mille informations par minute. C'était le pied pour une fille comme moi.

Cependant, un visage parmi les autres attira mon regard. Tous mes rêves furent relégués au second plan. Ce visage me cloua sur place.Je ne connaissais que trop bien ses traits là puisque je les avais étudié pendant de longues heures ce qui semblait faire une éternité. Néanmoins, je ne pensais pas revoir ces traits là ici un jour.
Mais force était de constater que le destin n'était pas clément avec moi. A peine avais je réussi à oublier Réza, qu'il revenait me hanter. Si c'était une blague de sa part, elle était vraiment de très mauvais gout.
Alors que j'avançais vers lui, les envies meurtrières de Damon me revinrent à l'esprit. S'il en venait aux mains, Réza aurait de nouvelles raisons de s'en aller... Mais est ce que ça me dérangerait? Je ne savais pas. Il m'avait tout de même bien amochée. Sans compter que j'avais réussi a ne plus l'aimer. Oui, il tombait quand même mal. J'avais peur que ce que j'avais durement construit ne s'effondra comme un chateau de cartes. Néanmoins, mes pas me portaient vers lui. j'arrivais à sa hauteur.

- Réza? Mais qu'est ce que tu fais ici? Je t'ai cru mort, tu sais. je t'avais même oublié... d'une certaine façon. Les choses ont bien changé sans toi.

Apparemment, mon nouveau statut de vampire ne plaisait pas à Réza. Lui, il aurait aimé que je réfléchisse encore un moment et je le comprenais. cela dit JE n'avais rien décidé. Un vampire avait simplement eut envie de moi au dessert et j'avais juste failli mourir. Non mais oh, il me prenait pour une cruche ou quoi? Je savais très bien qu'on doit peser ce genre de décision, mais dans certains cas;, on ne peut pas.
Heureusement, son compliment atténua sa remarque. Je retrouvais bien celui qui m'avait plu. Et dont la vie avait elle aussi, bien changé. Nous avions l'un comme l'autre besoin d'explications et c'était à moi de parler :

- Ma transformation est un accident. Un vampire m'a sautée dessus et une amie n'a pas vraiment eu le choix. Tu vois, je ne suis pas si stupide que ça...

La dernière phrase m'avait échappée. Cela dit, ses reproches ne me plaisaient pas. je n'y pouvais réellement rien si j'étais celle que j'étais. S'il n'avait pas du partir, les choses ne seraient pas les mêmes.

La cloche sonna et je découvris qu'il avait le même cours que moi.
Réza m'abandonna et s'assit au fond de la salle. j'hésitais à le rejoindre. j'avais envie de le retrouver mais j'avais peur de l'avoir déçue en devenant comme lui ou qu'il ne veuille plus de moi.
Finalement, je pris le taureau par les cornes et je pris place près de lui.

- Comme avant? demandais je timidement. Tu m'as manquée tu sais. J'ai cru mourir. J'avais envie de te tuer tant j'ai souffert. Mais ça va mieux. Et toi?

Réza me remémora un souvenir crétois que j'avais éludé. En effet, un jour à Chania (prononcez Rania), un grec et son char préhistorique avait bien failli avoir raison de moi parce que je n'avais pas fait attention... Mais, comme mon ange gardien n'est jamais loin, on m'avait sauvée. A présent, je savais à qui je devais la vie. Lui, bien sur.

- Merci, Réza.

Je ne le remerciai pas que pour ça. Je le remerciai aussi de me garder comme avant, plus ou moins du moins, puisque la donne avait changé. A ce propos, je percevais une pointe d'amertume dans sa voix. Je devinais qu'elle était causée par Stefan qui me plaisait... aussi devrais je dire. Oui j'étais perdue. Vraiment perdue. Que la vie peut etre complexe! Même pour un vampire, c'est hallucinant.
Quoiqu'il en soit, je ne voulais pas le voir triste. Je l'avais déjà assez été pour nous deux. J'avais trop de doutes pour supporter cela et je tenais trop à lui pour ça.

J'allais lui en toucher mot lorsqu'il me posa une question gênante mais qu'il avait le droit de poser. Hum... il n'avait même pas tort. La défense serait ardue.

- J'étais vraiment folle de toi. J'aurais décroché la Lune et plus rien que pour te garder. je ne peux supporter un monde sans l'un de nous. La mort aurait été horrible en sachant que tu vivrais et que tu aimerais une autre que moi... Et maintenant il y a Stefan... Oh pardon, Réza! Je ne veux pas te faire de mal. je ne sais juste plus ou j'en suis.

Je l'avoue, je me laissai emportée par la conversation si bien que le cours d'Histoire se mit de lui même en sourdine. Heureusement que mes facultés auditives étaient hors normes, sinon, Réza et moi étions bons pour une heure de colle, voire une semaine entière. D'ailleurs, voir le prof enrager que nous ayons somme toute entendu son cours était jouissif au possible. Sans parler des têtes ahuris de nos camarades de classes. Si déjà avant ils pensaient que nous venions de Mars, ils en avaient la confirmation.

Le prof eut la bonne idée de nous lâcher la grappe. La conversation pouvait reprendre. Nous avions pas mal de temps à rattraper. Après tout, il m'avait manquée, ce vampire... Malheureusement, les choses n'étaient plus aussi simples qu'avant. Trop de choses avaient changé et je sentais sa souffrance. Ca ne me plaisait mais alors pas du tout. Il eut été plus simple de ne jamais le revoir ou de ne pas connaitre Stefan. Mais non, bien sur, il fallait que le destin me joua des tours. Et de sacrés tours.
Comme par hasard, j'avais recommencé à vivre la veille de nos retrouvailles. Dans le genre poisseuse, je doute qu'on fit mieux. Et maintenant, en plus d'avoir la poisse, je ne savais que faire.
Je ne pourrais jamais oublié Réza. Surement pas après ce que nous avions vécu. Mais, je ne pouvais pas nier qu'il n'avait rien dit, qu'il m'avait trouée le coeur sans le recoudre, ni que Stefan n'avait pas un effet sur moi. A vrai dire, hormis mon égarement total, je ne savais plus rien.
Et maintenant, Réza voulait en savoir plus sur son rival. Logique, certes, mais inutile. je ne voulais pas lui faire de mal ou en faire à Stefan. Immédiatement, je voulais seulement que les choses redeviennent simples. Néanmoins, c'était contraire à mes principes de ne pas répondre :

- Le hasard. Juste le hasard. Comme pour toi et moi. Et, crois moi, si je pouvais faire en sorte que les choses s'arrangent pour tout le monde, je le ferai...

Je percevais les émotions par lesquelles passait Réza. Cependant, il est clair que c'est un peu normal pour une empathe. Ce qui était moins normal était surement le fait qu'elles me terrassaient.
Réza enrageait. Bien que je ne puis en être certaine, quelque intuition me disait que Stefan était la cause de tout ceci. Je le plaignais. Je ne savais que trop bien ce qu'avoir le coeur brisé voulait dire.
Je ressentais égalment un sentiment plus fort que sa colère. En fait, je ressentais l'amour qu'il avait pour moi et ça avait de quoi faire tourné la tête. Ce sentiment était déroutant car extrêment fort. Aussi puissant que son trouble. Car même siu Réza le cachaot bien, l'empathe que j'étais à présent le savait perdu. J'entendais presque ses neurones surchauffaient à la rechercher d'une solution qui ne venait pas.

D'un coup, le status quo changea. Réza me gratifia de son sourire enjôleur et me donna un papier proposant un jeu, de son invention je suppose. La tension s'apaisa. Je souris. l'idée n'était pas mauvaise, en fait.

- D'accord, chuchotai-je.

Je relevai alors la tête. Le professeur était bien trop passionné par la fin tragique de Marie Antoinette pour me calculer. Parfait. Je repris donc :

- Tu dois vouloir parler de Damon. C'est mon meilleur ami. Un narcissique inimitable et terriblement charmant. Enfin... ça dépend. Il veut ta peau je crois.

Je souris de toutes mes dents, non pas que je souhaitais particulièrement la mort de Réza. Ce que je souhaitais c"tait de la distraction. La balle était dans le camp de Réza. A lui de m'empecher de mourir d'ennui. A lui de remplir sa part du contrat.

Damon était donc son confident son protecteur , et pendant que fusait les paroles interminables du prof d'histoire Reza n'en pouvait plus de jalouser les deux hommes de la vie de Rose en ce moment , son petit ami et son confident , en fait tout ce que Reza était maintenant c'est l'ex qui est un peu trop présent et dont on aimerait se débarrasser pour pouvoir passe à autre chose ... cool il était jaloux

Il devait penser à autre chose car d'après ce qu'il avait compris Rose avait le pouvoir d'empathie , elle pouvait ressentir les émotions des gens comme Phoebe dans la célèbres séries sur 3 sorcières dont l'une est une maitresse en empathie . Bref il devait détourner ses émotions car sinon Rose saurait qu'il est jaloux et ça ne ferait que mettre de l'huile sur le feu dans leur relation déjà au plus bas .

S'il ne pouvait pas maîtriser ses émotions il fallait qu'il détourne l'attention de Rose , Reza pensait qu'elle avait surement besoin de concentration pour ressentir de l'empathie , elle était novice après tout , il suffisait surement de la distraire en jouant un tour dans la classe et hop il serait surement tiré d'affaire.

Reza se dit soudain que l'on pourrait faire un remaque du début de leur relation et regarda la porte ouverte de la salle qui donnait directement sur une levier d'alerte incendie . Reza actionna le mécanisme et une alarme se fit retentir dans toute l'école , un moment de panique épique et Reza en profita pour tiré Rose hors du cours .

- Tu te rappelles de notre première rencontre ? il s'était passé exactement la même chose sauf que cette fois ci les dialogues changent et je te dis : " Tu es une vampire maintenant Rose , il faut apprendre à sécher les cours car être prisonnière dans un corps d'adolescente te ramènera souvent sur les bancs de l'école" ... Viens avec moi on va chercher un coin pour s'amuser.

Je sentais qu'un flot d'émotions se déversaient dans Réza. C'était impressionnant de ressentir ce qu'il pensait. j'en étais presque triste car je savais que je n'étais pas étrangère à ses souffrances. Bien au contraire. Cela dit j'avais moi aussi eu ma dose de souffrance et plus encore. J'en avais bien bavé, comme il faut, à en pleurer toutes les larmes de mon corps.
Mais c'était le passé et nous aurions l'éternité pour nous remettre. Il fallait avancer encore et toujours sans se pourrir la vie avec ça.
Ainsi j'avais réussi à outrepasser ma douleur et à présent je vivais mieux espérant qu'l en serait bientot de même pour Réza. Pour mon merveilleux ex qui m'avait jadis prouvée que mes reves se réaliseraient.

Réza changea tout d('un coup. uje ne sentis plus le flot d'émotion parc'e qu'il n'y pensait plus. Réza se rappella notre rencontre et m'en fit profiter. Je revoyais clairement ce jour là, l'un des plus magiques. Je souris, perdue dans mes souvenirs. Je ris même :

- Oui! tu as raison! Et ça fait tellement de temps.. j'ai l'impression que ça fait partie d'une autre vie. pas toi?

Par je ne savais quelle opération du Saint Esprit, l'alarme incendie avait sonné. Tout le monde quittait la salle de classe, comme lors de notre première rencontre. Les choses semblaient se répéter, à peine changées par les récents départs et arrivées. C'était étrange mais pas autant que la nouvelle idée de Réza. c'est bien simple, il semblait que ce garçon ne cesserait jamais de me surprendre. c'était peut être ce qui avait fait fondre la pauvre et fragile humaine que j'étais alors quand nos chemins s'étaient croisés.

Réza m'avait donnée un papier avant de disparaitre. Sur le papier je pouvais lire que nous avions rendez vous dans le plus étrange des endroits ; le toit du lycée.
Certes, je n'avais pas peur d'y faire un tour, puisque je ne pouvais mourir. Cependant, il ne faudrait pas être vue et cela risquait d'être plus ardu.
Néanmoins je rejoignis mon ex (et croyez moi ce terme est bizarre a employer) au lieu dit. Apparemment, il avait décidé de poursuivre ma formation, à défaut d'encore avoir le droit de me rouler des pelles.
J'appréhendais ladite formation. je savais certes que je n'étais plus une petite chose fragile mais j'avais peur de mal faire. Heureusement; Réza ne pouvait lire en moi et ne le sut donc pas. Il est vrai que de ce point de vue là; j'avais un avantage non négligeable. Cela dit, avant que Réza ne fit la remarque, je ne m'étais jamais aperçu que mon doçn était si cool que ça. Je pensais n'avoir qu'un don passif voire ennuyeux, bien que tres intéressant pour connaitre le genre humain et vampirique, activité qui me fascinait.
Mais l'heure était à d'autres découvertes, plus physique. Je pris alors une grande inspiration et tentai de me préparer mentalement à notre nouveau jeu. Puis je souris, espérant être bel et bien prête au combat, bien que je n'aimais pas me battre (ce qui ne m'avait pas aidée du temps de mon humanité). Je croisai cependant le regard de Réza pour qu'il comprenne que je voulais apprendre et que j'étais parée à son cours.

- Très bien maestro. Que faisons nous?

J'étais avide de savoir, de me perfectionner, juste au cas ou. je pariais que ça pourrait être utile à ma survie de sang froid.

- OK donc essaye de m'attaquer et nous tirerons les conséquences de tes actions

Elle ne pouvait pas l'attaquer elle n'avait pas le punch nécéssaire et de plus il connaissait le pouvoir de télékinésie qui empéchait Rose d'avancer à plus de deux mètre de lui . Profitant de cette faiblesse Reza sauta sur Rose et fit un roulé boulé a travers la pièce avec elle .

En fait ce que désirait Reza ce n'était pas tant combattre avec Rose ni même lui apprendre à combattre , non ce que Reza voulait c'était s'amuser avec Rose,et retrouvait la complicité qu'ils avaient eut dans le temps . Reza se rappelais qu'avant qu'il ne parte rien n'aurait pu séparé Rose de Reza elle était même prête a devenir vampire pour lui et sacrifier sa vie pour lui .

Sauf que maintenant qu'il était parti pendant trop longtemps elle avait réussi a se reconstruire une vie et le retour de Reza venait tout chambouler dans sa vie , il en était conscient mais voulait retrouver la place qu'il avait avant ; Même ci cette place n'est pas de l'amour il voulait s'approcher au plus près de cette place , étant l'ami le plus proche de Rose .

- Alors on ne sais pas se défendre on se fait prendre à la première prise , rigola t'il

Il espérait que rien ne vienne déranger cette osmose parfaite qu'il pouvait y avoir entre eux en ce moment , et de plus toute cette mise en scène était pour faire oublier à Rose qu'elle avait sans doute ressentit les émotions de Reza , une émotion de forte jalousie quant au nouveau confident de Rose et au nouvel amour de Rose .
Il n'était pourtant pas parti si longtemps comment avait elle pu si vite l'oublier et si vite retrouver l'amour ?
Il ne savait pas mais ce que Reza savait c'est que son " coeur battait " toujours pour cette Rose et même si elle en aimait un autre Reza ne pourrait pas se résoudre à en aimer une autre .

- Raconte moi , raconte moi ta transformation ... es tu heureuse de ta situation actuelle ?

Il en savait très peu sur la transformation de Rose tout ce qu'il savait c'est qu'un connard avait tué Rose et que Diana avait sauvée Rose et que Diana avait tué le connard . Mais ce qu'il voulait savoir c'était de savoir si Rose était heureuse d'être devenue une vampire alors que ce qui l'a poussait à être une vampire à la base c'était de pouvoir vivre avec son amour Reza , avait elle regrété être devenue une vampire en voyant ce qu'elle était devenue et ce qu'elle avait perdue ? Que tout ce pourquoi elle avait lutté n'avait plus de raison d'être car Reza n'était pas a ses cotés ?

Il ne savait pas mais ce qu'il savait c'était que même en pensant à tout ça il arrivait à mettre une paté en combat à la jeune et innocente Rose

Réza m'intima de l'attaquer. Mouais. Autant me demander de célébrer une messe en Hébreu; quoi.
Je ne pouvais pas attaquer Réza et il y avait deux excellentes raisons à cela. Premièrement, je n'avais jamais été capable d'une telle chose. Attaquer me répulsait. Je ne voulais pas être le chasseur, même si cela signifiait que j'étais la proie. Deuxièmement, comment voulait-il que j'attaque un télékinésiste?! C'était une mission suicide, rien de plus.
Cela dit, Réza résolut rapidement ce problème puisqu'il se jeta sur moi sans prévenir. Pour sur, je ne l'avais pas vu venir.

- C'est pas un combat loyal, répliquai-je ensuite à sa pique. Depuis quand on s'en prend comme ça aux femmes?

Je ris. Non, ce n'était pas un reproche. Puisque je devais apprendre, autant le faire maintenant.
Réza resta allongé sur moi, m'empêchant de bouger. Ou pas. Car je le repoussai soudain et me remettai debout. Trop de contacts physiques ne lui feraient pas de bien, au contraire.
Je croyais que Réza lancerait une nouvelle attaque mais il en fut tout autrement. Au lieu de me clouer une fois de plus au sol, le vampire me posa une question étonnante qui me cloua le bec. Un instant, du moins.
Je cherchai alors mes mots puis trouvai une réponse correcte :

- Je suis heureuse. J'ai de très bons amis et... Damon, qui est à part, dirons nous. Non, je sus heureuse même si la nourriture me manque. Je n'aime pas traquer mes proies mais à part ça tout va bien. J'ai moins peur depuis que je suis comme toi.

Je n'avais pas voulu trop m'étendre sur mes sentiments. Réza n'avait pas besoin de savoir qui j'aimais ni à quel point je l'aimais. Je trouvais cela cruel de parler de ça alors j'éludais cette partie, si intéressante soit-elle.
Je sentais que Réza ne voulait que moi. Seulement voilà, la donne avait considérablement changée. Certes, je l'aimerais toujours... mais pas de l'amour qui m'avait donnée des ailes autrefois. A présent, je ne voulais plus être sienne. je voulais seulement son amitié. C'était dur à encaisser, je peux le concevoir mais on ne peut pas forcer quelqu'un à aimer une autre personne.
Percevant encore l'amertume de Réza, je repris :

- Tu sais, Réza, je t'aimerai toujours d'une certaine façon. J'ai envie d'être ton amie et... si ça ne te suffit pas, je crois qu'il vaudra alors mieux ne plus se voir. Je ne veux pas te voir souffrir ad vitam aeternam.

Ce que je voulais c'était... Damon.

(Stefan quitte le fo, je sais pas si tu sais d'où le 'Damon")

Reza avait bien compris que plus jamais il ne pourrais atteindre Rose de la façon dont il avait atteint par le passé , tout ce qu'ils pouvaient être maintenant c'était être de bon amis . Et cela lui convenait parfaitement. Biensur il devrait y avoir un temps d'adaptation mais il avait compris dans son regard que Damon était bien plus qu'un confident à ses yeux et que c'était surement son nouvel amour , le nouvel amour de sa vie porur lequel elle pourrait tout sacrifier comme elle voulait autrefois sacrifier sa vie pour lui .

Elle était donc devenu vampire parce qu'elle avait été attaqué et non parce qu'elle l'avait voulu et Reza avait compris qu'elle regretttait quelque peu sa vie passé ou elle pouvait manger à sa guise et qu'elle nétait pas obliger de chasser pour survivre . Mais une chose était clair c'était que si elle était maintenant avec Damon qui lui aussi étit un vampire il n'y aurait plus de problemes entre humains et vampires car ils étaient tout les deux des vampires et pourraient donc vivre heureux pour toujours et pour l'éternité .

- Je suis content que nous soyons amis mais il faudra que tu me laisses du temps car je ne peux pas effacer d'un simple coup de baguette magique les sentiments que j'ai éprouvé pour toi autrefois .


Tout en discutant ils s'amusaient a combattre de façon amicale dans l'aire de jeu improvisé par le couple d'amis vampire . Ils s'amusaient et pour détendre l'atmosphère Reza se dirigea vers la fenêtre l'ouvrit et sauta en cirant JERONIMOOOO

Personne ne pouvait les voir ce n'était pas une heure de pointe et il n'y avait personne dans la cours et les élèves se concentrait dans leur salle ou flannait dans les couloirs et Reza ne vit aucune personne le regardant sauter . Il se tourna vers rose et lui dit :

- Alors tu me suis jeune novice ?

Du temps. Réza me demandait de lui laisser le temps de digérer cette nouvelle situation. Ok aucun souci. Du temps, il pouvait en avoir. Nous avions encore tout le temps devant nous car nous l'éternité.
J'étais heureuse du changement qui opérait en Réza. Il acceptait la situation et c'était tout ce qui comptait. Au moins il ne semblait plus souffrir et de fait je ne souffrais plus de le voir souffrir (ça fait pas mal de souffrance tout ça).
Cela dit la souffrance était partie. Enfin. Enfin je pouvais regarder sereinement Réza sans croire que j'étais le Diable.

D'ailleurs, en parlant de regarder Réeza, je le vis sauter de la fenêtre, rien que ça, en criant comme un taré. Oui, un taré. Réza était devenu fou. Et diablement imprudent. Même si ce n'était pas l'heure de pointe, les vampires ne devaient pas jouer avec le feu. Personnellement, je ne voulais pas voir les Volturi a Forks. C'est pourqoi il me mit mal à l'aise.

- Je viens, dis je finalement. Par la voie normale.

Je souris et prit les escaliers. Arrivée en bas:

- Me revoilà! C'est un peu plus long mais moins risqué. Les Volturi, ça te parle?

Puisque Réza et moi ne partagions pas exactement les mêmes opinions, et puisque j'étais un peu plus prudente que lui ne le serait jamais, il décida que dorénavant je fixerai les règles du jeu.
C'était loin d'être une mauvaise idée. De cette façon, je ne vivrais pas dans la crainte de mourir par sa faute des mains des Volturi. De cette façon, nous nous amuserions plus normalement.
Nous avions beau être des vampires, d'après moi il n'était pas nécessaire de nous comporter comme des sauvages. Après tout, nous avions été humains et.. bref je tenais à rester normale. Les jeux comme ceux qu'il me proposait, ce n'était pas réellement ma tasse de sang. J'étais ce qu'on pourrait appeler une vampire BCBG et une vampire très à cheval sur les lois. Que ça plaise ou non, d'ailleurs, ça reviendrait au même.

- C'est parfait, répondis-je. Si un jour je dois mourir, je veux que ce soit par mon unique faute. Tu n'as pas intérêt à me tuer.. sinon je reviendrais te hanter.

J'avais dit cela sur le ton de la plaisanterie, cependant, je tenais vraiment à ce qu'il ne m'attire pas d'ennuis. Même si elle avait beaucoup changé, je tenais encore à ma vie. Mais ce n'était pas pour autant que je ne savais pas m'amuser. J'ai peut être l'air un peu coincée (ou pas et je penche pour le ou pas) mais je sais vraiment m'amuser... quand ça ne risque pas de me faire de tort, naturellement.

- Et si tu refaisais de la magie pour moi? demandai-je finalement. Sans te faire prendre, bien sur.