S'il y avait bien un endroit dont ma maison pouvait s'enorgueillir , c'était bien la bibliothèque.
Une grand pièce , que j'avais aménagé comme une bibliothèque du 19ème siècle et plus particulièrement comme celle qu'il y avait chez moi quand j'étais encore humaine.
Attrapant un livre dans le but de faire cesser la petite voix des remords qui me taraudait depuis que j'avais du transformer Rose , je m'assis essayant de commencer ma lecture.
Cela semblait peine perdus , a chaque fois cette petite voix revenait distiller son venin. Et après on dit que les vampires n'ont pas de conscience , ben c'est que je ne devais pas être très normale alors.
Moi qui d'habitude était d'un calme olympien en toute circonstance , je m'autorisais une saute d'humeur en balançant mon livre a l'autre bout de la pièce.
Prenant cinq minutes pour me calmer , je me levais finalement épousseter le livre et le remis a sa place dans l'étagère.
Une chose était sure , ça ne pouvait plus durer. Et je ne voyais qu'un seul moyen pour y remédier : aller prendre l'air en forêt.
Jugeant cette idée acceptable , je descendis les escalier pour m'engager dans le couloir de l'entrée. Là je mis mes chaussures , attrapais une veste et les clés de ma jaguar. Avisant le bloc note devant le téléphone je griffonnais un mot en vitesse pour Rose puis l'accrochait bien en évidence pour qu'elle ne puisse pas le rater. Ce n'était pas un problème de vue puisque les vampires ont une excellente vue mais plutôt un problème d'attention.
Quand j''en eu finis avec mon mot , je sortis refermant ma porte a clé et ouvris le garage pour en sortir ma voiture.
Une fois dedans , je poussais l'accélérateur au maximum et me laissais porter par la vitesse. J'arrivais a la forêt en moins de temps qu'il n'en faut pour dire ouf. Je me garais et sortis. Une fois dans les bois , je m'éloignais peut a peut des sentier réservé aux humains pour m'enfoncer au plus profond de la forêt.
Après m'être bien éloigné une odeur qui ne m'étais pas totalement inconnue ce fi sentir. Je me doutais que c'était une personne comme l'avait été mon meilleur ami. La curiosité l'emportant je me mis a marcher en direction de cette personne.