La clé de Lilly tourna dans la porte et elle entra. Un siège en cuire noir profond et avec des roulette se trouvait juste devant elle. Le siège tourna révélant une personne. Le siège tourna me révélant. J'avais une chemise noire avec un col ouvert dévoilant mon habituel pendentif ainsi qu'un jean bleu comme le ciel de minuit à la nuit sans lune. J'avais les bras croisé prouvant que j'étais sérieux pour une fois. Malheureusement j'avais un pot avec une petit fleur carnivore à côté de mes genoux et cela gâchait l'effet. Quoi qu'il en soit je me mis à dire:

"Il es tard et comme tu es plutôt rapide quand tu manges, tu as fait autre chose."

Je me levais et fis un tour autour d'elle et je me mis à déclarer:

"Tu as de la boue donc mise d'une certaine façon sur tes jambes comme si tu avais couru. Il te reste de la mousse sur le dos de ton chemisier, tu t'es allongé sur le dos. Tu sens l'odeur d'un autre vampire et légèrement le sang humain. Tous tes habit sont légèrement terreux comme si tu t'étais allongée avec mais sans ton poids par dessus. Mais qu'est-ce que tu as bien pu faire."

Je vis alors qu'elle ne portais pas de sous-vêtement et me mis à rougir comprenant enfin. Je haïssais vraiment de me nourrir très souvent, quelque fois. Je me mis à bégayer des excuses.

Je la regardais d'un air négatif. 225 et toujours aussi mal élevé. Je lui répondis donc:

-J'ai 707 ans de plus que toi! Pour mon âge tu accepteras que j'en ai vu passer plus que toi des générations! Tu es vraiment sure de savoir dans quoi tu t'engages. Les relations intimes ne sont pas à prendre à la légère! Au faite, arrêtes de me jeter le regard de "Tu n'es pas mon père". Je suis déjà au courant.

Elle attendis que j'ai tourné le dos pour me faire un doigt. Je fis semblant de l'ignorer. Elle était encore petite, je ne pouvais pas lui en vouloir. Je pris quelque chose sur la table basse du salon, un joli table certes mais à peine un demi-mètre du sol si bien que l'on devant se courber comme pas possible pour pouvoir saisir quoi que ce soit dessus. Je lui tendis donc la lettre que j'avais ramassée.

- Tu as reçu ça, lui dis-je. Je ne sais pas ce que c'est, mais je vais te laisser ouvrir tranquille car tu n'as pas l'air disposé à supporter ma présence.

Je parti rapidement vers ma chambre en lui laissant ouvrir la facture qui était beaucoup trop élevé.

Je l'entendis fracturé le verrou. Je me postai juste devant elle avant qu'elle n'ait eu le temps de voir ma chambre. Énervée, elle me poussa et vu alors ma chambre. Ma chambre avait normalement comme sol du parquet mais je l'avais parsemé d'un nombres phénoménale de trous pour y faire pousser de l'herbe, si bien que le parquet lui était totalement invisible. Je penses que ce qui la choqua le plus fut que j'ai découpé proprement une partie du plafond pour que l'arbre que j'avais réussi à faire pousser dans la maison n'est pas besoin de se ratatiner. Heureusement, l'arbre montait jusqu'au plafond en utilisant seulement les toilettes qui ne servaient jamais et le grenier où jamais personne n'allait. Cela sembla vraiment l'énerver.

"Je peux tout expliquer, lui dis-je. Je n'avait pas prévu que mon arbre grandirait si vite et quand il fut trop grand je n'ai pas eu le courage de réduire cette majestueuse créature. Pour les racines c'étaient un accident. "

*La première fois était un accident du moins, rajoutai-je en moi même. J'étais énervé par le manque de végétation et j'ai fait pousser une rose dans le parquet, je n'ai pas eu le cœur à la laisser seule donc je lui ai fait des amis!*

"Calmes toi, lui dis-je. Ce sont juste des murs... et un plafond.... et un parquet. C'est pas comme si j'avais assassiné la cachet de ta maison... enfin seulement un peu. En plus c'est super comme ça, je trouve."

Je me dégageais lestement. Elle semblait encore sous le choc. Je me mis à la secouer tout en lui disant:

"Réveilles toi! Ce n'est pas grave! Tu vas jamais dans ma chambre de toutes façons! Ça ne peut gêner que moi!"

Je lui tendis une petite fleur qui ressemblait à du muguet et la ramenais tranquillement dans sa chambre. Je l'allongeais sur le petite canapé qu'elle y avait fait installé, un horrible canapé noir et poussiéreux. J'en profitais pour lui ramener le fauteuil en cuir noir à roue que j'avais utilisé pour la surprendre devant la porte. Je décidai ensuite de me lavé, j'avais beau ne pas transpiré, je prenais la poussière comme un meuble. Je commençai à prendre ma douche et quelque temps plus tard, l'eau coulait et j'avais fermé la porte à un verrou plus un rocher que j'avais pris dans ma chambre et qu'elle n'avait heureusement pas vu.

La pierre que j'avais difficilement poussée pour bloquer la porte tressaillit, puis le calme revint. Je fus tout de même étonné qu'elle est réussie à bouger, même légèrement, cet énorme bloc de marbre entièrement pur. J'arrêtai tranquillement l'eau en me demandant ce qui s'était passé. Je vis alors deux mains sur le rebord de la fenêtre, d'ailleurs une des mains était blanchit comme par de la farine, elle avait surement tenté d'enfoncer la porte avec un coup de poing. J'eus à peine le temps de prendre une serviette et de l'enfiler autour de mon torse, avant que la tête de Lilly apparaisse. Elle paraissait hébétée comme si elle avait vu son arrière-grand oncle fantomatique, encore que ça aurait pu être possible en vampire.Je me mis à crier sur elle.

"Mais tu es malade ! Rien ne te permet pas de venir m'observer pendant je me lave ! En plus, avec tes bêtises, tu réussis même à déchirer tes propres vêtement"lui dis-je en lui montrait une grande déchirrure tout le long de son mollet.

"Cette discussion avec toi est d'un ennui. Tu ne peux t'empêcher de répéter les paroles déjà dite. Entrer par effraction quelque pars est un délit. Permets-tu que je te signale au shérif, juste comme..."

À ce moment le hasard voulu que brise assez puissante entre par la fenêtre qu'elle avait forcée pour entrer. J'eus à peine le temps de retenir ma serviette avant qu'elle ne me dévoile. Je la rattacha tranquillement autour de mon bassin. Je pointa du doigt la fenêtre et lui dit d'une voix emplie de colère qui se retenait:

"Sors, ce n'est pas une question. Sors, et je ne me répèterais pas."

Autour de moi, des ronces des orties et de nombreuse autre plante épineuse ou urticante poussaient à vitesse grand V et semblaient tel des doigt qui essayaient d'attraper des objet invisibles. L'air semblait bouillonner de colère et de haine retenues. Les plantes s'attaquèrent à la pierre en marbre que j'avais précédemment mise devant la porte. Il ne suffit que de quelques secondes pour que la pierre se désagrègent sous les assauts des plantes. Elles condamnèrent en même temps la porte, pour tous ce qui voudrait sortir par elle, à moins bien sur de vouloir mourir en quelques temps et dans d'atroces souffrances.

Une fois qu'elle fut repartie, je pris conscience de la réalité. Je me retournais et vu les plantes qui grandissaient toutes seules. Je songeai qu'il faudrait vraiment que je contrôle ma colère, j'arriverais peut-être à refaire des plantes avec une vie en accéléré. Quand les plantes bloquèrent la fenêtre, je pris conscience qu'elle allait finir par me réduire en bouilli dans d'atroce souffrance si je restais là. Le problème était que je ne pouvais plus partir, les issues étaient bloquer. Je vis un bras de ronce passer juste au dessus de mon épaule. Elle fut suivie de multiples autres bras de plante. Au bout d'un moment je fus bloqué, un énorme bras d'une plante qui me semblait infiniment plus dangereuse fonça droit vers moi. Elle s'arrêta à un mètre et se mit à faner à grande vitesse, bientôt suivie de toutes les autres plantes. Une vie en accélérée voulait aussi dire une mort plus proche. J'allais dans ma chambre et pris un jean assez clair et une chemise bleu pâle. En penchant la tête vers la fenêtre, je vis Lilly partir et derrière elle, se trouvait des nuages qui indiquait le beau temps à venir. Je songeai à la prévenir puis me dis qu'elle ne me croirait pas toute façon. Je partis vers le centre ville, espérant arriver avec le soleil.

>Centre ville (Rencontre pluvieuse